17h30 : COUP DE PROJO : Puisque “nos petits événements privés attendent toujours un conteur”, nous conversons avec Olivier Terwagne écrivain, poète, auteur de deux ouvrages parus chez Traverse : Soleils sur le Nihil (2014 pour la 1ère édition), où le poète, fatigué d’être sans cesse renvoyé à sa culpabilité, s’identifie à l’occident en mutation. Mal blessée (2017), journal philo amoureux 2.0 d’un enfant du siècle
19h : CONCERT : Place à l’univers baroque de la « french-piano-toy’electro-pop-slam-song » d’Olivier Terwagne ! Passant d’un instrument à l’autre, Olivier songe parfois à Chopin, Philip Glass et Scott Joplin; dans la chanson, à Bashung, Brassens, Yves Simon, Chamfort ou MC. Ses textes sont tour à tour corrosifs et nostalgiques. Les jeux de mots qu’il affectionne sont autant d’armes ludiques pour jeter un regard à la fois poétique et satirique sur son époque. Son premier album « Mnémosyne » (coproduit par Alonza Bevan-Kula Shaker) est sorti en 2015. Il l’a défendu en solo ou en quintet au Botanique, aux Francofolies et dans des premières parties (Bertrand Belin, Michel Jonasz, Daran). Il s’apprête à sortir son 2e opus et un album de pièces pour piano.
Le clip de « La vie est un long deuil tranquille » a été en partie tourné à la Maison Lossseau.
Avec Stéphanie Gilly aux cuivres, Adrien Fortemps aux drums, Antoine Chauvaux à la basse.